Warning: simplexml_load_file(): I/O warning : failed to load external entity "/var/www/sdb/e/7/lyon.monplaisir/Joomla/language/fr-FR/fr-FR.xml" in /var/www/sdb/e/7/lyon.monplaisir/Joomla/libraries/joomla/language/language.php on line 1404
Accueil http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php/10-les-entreprises 2025-06-09T15:16:50+02:00 lyon.monplaisir jm.demours@free.fr Joomla! - Open Source Content Management Le Palais d'Eté 2016-02-15T09:41:11+01:00 2016-02-15T09:41:11+01:00 http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php/10-les-entreprises/20-le-palais-d-ete Super Utilisateur jm.demours@free.fr <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;<img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/69008_01-6.jpg" alt="69008 01 6" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" /></p> <p>&nbsp;</p> <p>En 1886, 61 chemin des Maisons Neuves &agrave; Monplaisir (rue Feuillat actuellement),&nbsp;Mr. Laplace fit construire un ensemble de b&acirc;timents et cr&eacute;ait une Brasserie-Restaurant d&eacute;nomm&eacute;e " Villa de la Roseraie".</p> <p>En 1889 l&rsquo;&eacute;tablissement change de nom et de propri&eacute;taire, il devient le &laquo; Palais d&rsquo;Et&eacute; &raquo;&nbsp;et appartient &agrave; Ch. Koemgen. Ce dernier fait la publicit&eacute; suivante dans la presse :</p> <p style="text-align: center;"><em>Palais d&rsquo;Et&eacute;</em><br /><em>81 chemin Feuillat</em><br /><em>Etablissement le plus vaste de Lyon</em><br /><em>Caf&eacute; restaurant de 1&deg; ordre</em><br /><em>Dans le splendide jardin anglais</em><br /><em>Vastes salons pour noces et banquets</em><br /><em>Repas de corps</em><br /><em>Salle de concerts contenant 2000 personnes</em><br /><em>Mise gratuitement &agrave; la disposition des Soci&eacute;t&eacute;s</em></p> <p>Cet &eacute;tablissement situ&eacute; dans un quartier tranquille avait rapidement conquis son public. On y trouvait de vastes salles r&eacute;parties dans 2 b&acirc;timents importants : l&rsquo;un en bordure du chemin Feuillat ne mesurait pas moins de 27 m de long sur 7 m de large, prolong&eacute; par une v&eacute;randa qui courait tout le long de la fa&ccedil;ade sur le jardin. La m&ecirc;me disposition se r&eacute;p&eacute;tait &agrave; l&rsquo;&eacute;tage.<br /> L&rsquo;autre b&acirc;timent perpendiculaire au chemin Feuillat avait pour dimension 22 m par 8 m. Une galerie ext&eacute;rieure desservait l&rsquo;&eacute;tage. Dans ce b&acirc;timent se trouvaient les communs et les annexes.<br />C&rsquo;est sur 85 m de fa&ccedil;ade que s&rsquo;&eacute;talait l&rsquo;ensemble de l&rsquo;&eacute;tablissement, desservi par 3 entr&eacute;es coch&egrave;res donnant directement dans la salle d&rsquo;ombrage ou dans le jardin. Une pi&egrave;ce d&rsquo;eau en forme de larme, avec un petit pont, agr&eacute;mentait le paysage. Gazon et arbustes compl&eacute;taient le d&eacute;cor.<br /> Les mariages succ&eacute;daient aux banquets, les bals aux soir&eacute;es. Nombreuses aussi &eacute;taient les r&eacute;unions.</p> <p>Le 21 janvier 1912, &agrave; l&rsquo;issu de l&rsquo;inauguration de l&rsquo;Ecole Maternelle du 42 de l&rsquo;avenue du Ch&acirc;teau &agrave; Monchat, un banquet de 600 couverts fut servi au Palais d&rsquo;Et&eacute;, en l&rsquo;honneur de M. Edouard Herriot, maire de Lyon.<br /> Ce banquet marqua presque la fin de l&rsquo;&eacute;tablissement. L&rsquo;ann&eacute;e suivante les Etablissements Rochet et Schneider, constructeurs d&rsquo;automobiles, qui en 1901 s&rsquo;&eacute;taient implant&eacute;s &agrave; la suite des Carburateurs Z&eacute;nith sur une grande partie des terrains bordant le chemin des Maisons Neuves &agrave; Monplaisir,&nbsp;se rendaient acqu&eacute;reurs du Palais d&rsquo;Et&eacute; et installaient une coop&eacute;rative pour leur personnel.</p> <p>En 1963, les Automobiles Berliet, achet&egrave;rent les terrains de Z&eacute;nith, Rochet Schneider et le Palais d&rsquo;Et&eacute;, pour le stockage et la vente des pi&egrave;ces d&eacute;tach&eacute;es.</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;<img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/69008_01-6.jpg" alt="69008 01 6" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" /></p> <p>&nbsp;</p> <p>En 1886, 61 chemin des Maisons Neuves &agrave; Monplaisir (rue Feuillat actuellement),&nbsp;Mr. Laplace fit construire un ensemble de b&acirc;timents et cr&eacute;ait une Brasserie-Restaurant d&eacute;nomm&eacute;e " Villa de la Roseraie".</p> <p>En 1889 l&rsquo;&eacute;tablissement change de nom et de propri&eacute;taire, il devient le &laquo; Palais d&rsquo;Et&eacute; &raquo;&nbsp;et appartient &agrave; Ch. Koemgen. Ce dernier fait la publicit&eacute; suivante dans la presse :</p> <p style="text-align: center;"><em>Palais d&rsquo;Et&eacute;</em><br /><em>81 chemin Feuillat</em><br /><em>Etablissement le plus vaste de Lyon</em><br /><em>Caf&eacute; restaurant de 1&deg; ordre</em><br /><em>Dans le splendide jardin anglais</em><br /><em>Vastes salons pour noces et banquets</em><br /><em>Repas de corps</em><br /><em>Salle de concerts contenant 2000 personnes</em><br /><em>Mise gratuitement &agrave; la disposition des Soci&eacute;t&eacute;s</em></p> <p>Cet &eacute;tablissement situ&eacute; dans un quartier tranquille avait rapidement conquis son public. On y trouvait de vastes salles r&eacute;parties dans 2 b&acirc;timents importants : l&rsquo;un en bordure du chemin Feuillat ne mesurait pas moins de 27 m de long sur 7 m de large, prolong&eacute; par une v&eacute;randa qui courait tout le long de la fa&ccedil;ade sur le jardin. La m&ecirc;me disposition se r&eacute;p&eacute;tait &agrave; l&rsquo;&eacute;tage.<br /> L&rsquo;autre b&acirc;timent perpendiculaire au chemin Feuillat avait pour dimension 22 m par 8 m. Une galerie ext&eacute;rieure desservait l&rsquo;&eacute;tage. Dans ce b&acirc;timent se trouvaient les communs et les annexes.<br />C&rsquo;est sur 85 m de fa&ccedil;ade que s&rsquo;&eacute;talait l&rsquo;ensemble de l&rsquo;&eacute;tablissement, desservi par 3 entr&eacute;es coch&egrave;res donnant directement dans la salle d&rsquo;ombrage ou dans le jardin. Une pi&egrave;ce d&rsquo;eau en forme de larme, avec un petit pont, agr&eacute;mentait le paysage. Gazon et arbustes compl&eacute;taient le d&eacute;cor.<br /> Les mariages succ&eacute;daient aux banquets, les bals aux soir&eacute;es. Nombreuses aussi &eacute;taient les r&eacute;unions.</p> <p>Le 21 janvier 1912, &agrave; l&rsquo;issu de l&rsquo;inauguration de l&rsquo;Ecole Maternelle du 42 de l&rsquo;avenue du Ch&acirc;teau &agrave; Monchat, un banquet de 600 couverts fut servi au Palais d&rsquo;Et&eacute;, en l&rsquo;honneur de M. Edouard Herriot, maire de Lyon.<br /> Ce banquet marqua presque la fin de l&rsquo;&eacute;tablissement. L&rsquo;ann&eacute;e suivante les Etablissements Rochet et Schneider, constructeurs d&rsquo;automobiles, qui en 1901 s&rsquo;&eacute;taient implant&eacute;s &agrave; la suite des Carburateurs Z&eacute;nith sur une grande partie des terrains bordant le chemin des Maisons Neuves &agrave; Monplaisir,&nbsp;se rendaient acqu&eacute;reurs du Palais d&rsquo;Et&eacute; et installaient une coop&eacute;rative pour leur personnel.</p> <p>En 1963, les Automobiles Berliet, achet&egrave;rent les terrains de Z&eacute;nith, Rochet Schneider et le Palais d&rsquo;Et&eacute;, pour le stockage et la vente des pi&egrave;ces d&eacute;tach&eacute;es.</p> Le cinéma "Le Bijou" 2016-02-15T09:18:07+01:00 2016-02-15T09:18:07+01:00 http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php/10-les-entreprises/19-le-cinema-le-bijou Super Utilisateur jm.demours@free.fr <p>&nbsp;</p> <p><span style="font-size: 10pt;"><img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/bijou-cinema_2.jpg" alt="bijou cinema 2" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" /></span></p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="font-size: 10pt;"></span></p> <table border="0" cellspacing="5" cellpadding="5" align="left"> <tbody> <tr> <td> <p><span style="font-size: 10pt;">Premier cin&eacute;ma de Monplaisir, le Bijou &eacute;tait situ&eacute; au 82 de la grande rue de Monplaisir. L'entr&eacute;e officielle se trouvait au 7 de la rue saint Gilbert (actuellement rue L&eacute;o Trouilhet), rue alors tr&egrave;s peu passante.</span></p> <p><span style="font-size: 10pt;">A ses d&eacute;buts, le sol du cin&eacute;ma &eacute;tait en terre et des bancs servaient de si&egrave;ges; l&rsquo;op&eacute;rateur de cin&eacute;ma tournait la manivelle du projecteur qui &eacute;tait &eacute;clair&eacute; par une lampe &agrave; arc avec 2 charbons. Un piano compl&eacute;tait ce mat&eacute;riel pour la sonorisation. Par la suite le piano fut mis dans une fosse devant la sc&egrave;ne; ainsi les spectateurs n&rsquo;&eacute;taient pas g&ecirc;n&eacute;s par le piano. Vous aurez compris que ce 1&deg; cin&eacute;ma &eacute;tait muet. Par une note du 23 ao&ucirc;t 1916 du commissaire de police de Villeurbanne nous apprenons : &laquo; que le cin&eacute;ma &eacute;tait tenu par M. et Mme Rivi&egrave;re, tous deux d&eacute;c&eacute;d&eacute;s. Le nouveau propri&eacute;taire M. Madrignac demande de reprendre l&rsquo;exploitation &raquo; et quelques semaines plus tard il demande d&rsquo;ouvrir &laquo; &nbsp;dans la salle de contr&ocirc;le, attenante &agrave; la salle de spectacle, une buvette ou l&rsquo;on servirait des boissons hygi&eacute;niques, telles &nbsp;que caf&eacute;, limonade ou bi&egrave;re &raquo;.</span></p> <p><br /><span style="font-size: 10pt;">Le 9 octobre 1918 Monsieur Marius de Saint Jean demande au maire de Lyon&nbsp;l&rsquo;autorisation de continuer l&rsquo;exploitation de ce cin&eacute;ma qu&rsquo;il venait d&rsquo;acheter avec la propri&eacute;t&eacute; attenante.</span><br /><span style="font-size: 10pt;">Marius &eacute;tait d&eacute;j&agrave; dans la partie puisqu&rsquo;il avait commenc&eacute; avec un cin&eacute;ma ambulant dans le sud de la France et s&rsquo;&eacute;tait fix&eacute; au Grau-du-Roi dans&nbsp;un Casino/th&eacute;&acirc;tre. Revenant dans la r&eacute;gion lyonnaise il acheteta la propri&eacute;t&eacute; du 82 de la Grande Rue de Monplaisir o&ugrave; se trouvait d&eacute;j&agrave; le Bijou.</span><br /><span style="font-size: 10pt;"> Le cin&eacute;ma est alors modernis&eacute; : un plancher en pente est substitu&eacute; &agrave; la terre battue et des si&egrave;ges remplacent les bancs. Dans les ann&eacute;es 1920 la sonorisation fut r&eacute;alis&eacute;e par l&rsquo;installation de 2 tourne-disques.</span></p> <p><span style="font-size: 10pt;">Pour s&rsquo;assurer de la fid&eacute;lit&eacute; des spectateurs les films &eacute;taient &agrave; &eacute;pisodes. Une sonnerie avertissait la Grande Rue que la s&eacute;ance allait d&eacute;buter ou que l&rsquo;entracte &eacute;tait termin&eacute;. Les projections&nbsp;avaient lieu&nbsp;le samedi soir et le dimanche apr&egrave;s midi.</span></p> <p><span style="font-size: 10pt;">Le cin&eacute;ma changera plusieurs fois de propri&eacute;taires avant de fermer d&eacute;finitivementen 1934, concurrenc&eacute; par le Cristal Palace ouvert en 1922.</span></p> </td> <td><img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/bijou-cinema_1b.jpg" alt="bijou cinema 1b" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" /></td> </tr> </tbody> </table> <p>&nbsp;</p> <p><span style="font-size: 10pt;"><img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/bijou-cinema_2.jpg" alt="bijou cinema 2" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" /></span></p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="font-size: 10pt;"></span></p> <table border="0" cellspacing="5" cellpadding="5" align="left"> <tbody> <tr> <td> <p><span style="font-size: 10pt;">Premier cin&eacute;ma de Monplaisir, le Bijou &eacute;tait situ&eacute; au 82 de la grande rue de Monplaisir. L'entr&eacute;e officielle se trouvait au 7 de la rue saint Gilbert (actuellement rue L&eacute;o Trouilhet), rue alors tr&egrave;s peu passante.</span></p> <p><span style="font-size: 10pt;">A ses d&eacute;buts, le sol du cin&eacute;ma &eacute;tait en terre et des bancs servaient de si&egrave;ges; l&rsquo;op&eacute;rateur de cin&eacute;ma tournait la manivelle du projecteur qui &eacute;tait &eacute;clair&eacute; par une lampe &agrave; arc avec 2 charbons. Un piano compl&eacute;tait ce mat&eacute;riel pour la sonorisation. Par la suite le piano fut mis dans une fosse devant la sc&egrave;ne; ainsi les spectateurs n&rsquo;&eacute;taient pas g&ecirc;n&eacute;s par le piano. Vous aurez compris que ce 1&deg; cin&eacute;ma &eacute;tait muet. Par une note du 23 ao&ucirc;t 1916 du commissaire de police de Villeurbanne nous apprenons : &laquo; que le cin&eacute;ma &eacute;tait tenu par M. et Mme Rivi&egrave;re, tous deux d&eacute;c&eacute;d&eacute;s. Le nouveau propri&eacute;taire M. Madrignac demande de reprendre l&rsquo;exploitation &raquo; et quelques semaines plus tard il demande d&rsquo;ouvrir &laquo; &nbsp;dans la salle de contr&ocirc;le, attenante &agrave; la salle de spectacle, une buvette ou l&rsquo;on servirait des boissons hygi&eacute;niques, telles &nbsp;que caf&eacute;, limonade ou bi&egrave;re &raquo;.</span></p> <p><br /><span style="font-size: 10pt;">Le 9 octobre 1918 Monsieur Marius de Saint Jean demande au maire de Lyon&nbsp;l&rsquo;autorisation de continuer l&rsquo;exploitation de ce cin&eacute;ma qu&rsquo;il venait d&rsquo;acheter avec la propri&eacute;t&eacute; attenante.</span><br /><span style="font-size: 10pt;">Marius &eacute;tait d&eacute;j&agrave; dans la partie puisqu&rsquo;il avait commenc&eacute; avec un cin&eacute;ma ambulant dans le sud de la France et s&rsquo;&eacute;tait fix&eacute; au Grau-du-Roi dans&nbsp;un Casino/th&eacute;&acirc;tre. Revenant dans la r&eacute;gion lyonnaise il acheteta la propri&eacute;t&eacute; du 82 de la Grande Rue de Monplaisir o&ugrave; se trouvait d&eacute;j&agrave; le Bijou.</span><br /><span style="font-size: 10pt;"> Le cin&eacute;ma est alors modernis&eacute; : un plancher en pente est substitu&eacute; &agrave; la terre battue et des si&egrave;ges remplacent les bancs. Dans les ann&eacute;es 1920 la sonorisation fut r&eacute;alis&eacute;e par l&rsquo;installation de 2 tourne-disques.</span></p> <p><span style="font-size: 10pt;">Pour s&rsquo;assurer de la fid&eacute;lit&eacute; des spectateurs les films &eacute;taient &agrave; &eacute;pisodes. Une sonnerie avertissait la Grande Rue que la s&eacute;ance allait d&eacute;buter ou que l&rsquo;entracte &eacute;tait termin&eacute;. Les projections&nbsp;avaient lieu&nbsp;le samedi soir et le dimanche apr&egrave;s midi.</span></p> <p><span style="font-size: 10pt;">Le cin&eacute;ma changera plusieurs fois de propri&eacute;taires avant de fermer d&eacute;finitivementen 1934, concurrenc&eacute; par le Cristal Palace ouvert en 1922.</span></p> </td> <td><img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/bijou-cinema_1b.jpg" alt="bijou cinema 1b" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" /></td> </tr> </tbody> </table> Les entreprises à Monplaisir 2016-01-16T16:22:14+01:00 2016-01-16T16:22:14+01:00 http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php/les-entreprises-a-monplaisir Super Utilisateur jm.demours@free.fr <p>Sauf mention contraire, la documentation concernant ces articles a &eacute;t&eacute; r&eacute;unie par Maurice Charras.</p> <p>&nbsp;</p> <ul> <li>Les usines Lumi&egrave;re: voir <a href="http://patrimoine.rhonealpes.fr/dossier/societe-anonyme-des-plaques-et-papiers-photographiques-antoine-lumiere-et-ses-fils-puis-societe-lumiere-puis-groupe-ilford-france-actuellement-institut-lumiere-cinema-et-musee/01bc51e6-2252-4283-8dd2-a8734fca40bf" onclick="window.open(this.href,'','scrollbars=yes,resizable=yes,location=yes,menubar=yes,status=yes,toolbar=yes,left=0,top=0');return false;">le site g&eacute;r&eacute; par la ville de Lyon et la r&eacute;gion </a>qui regroupe de tr&egrave;s nombreuses photographies de ces usines ainsi que des plans.</li> <li><a href="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=13:arto-boudarel&amp;catid=10:les-entreprises&amp;Itemid=111" target="_blank" class="jcepopup noicon">Arto &amp; Boudarel</a>&nbsp;</li> <li><a href="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=14:etablissements-lafont&amp;catid=10:les-entreprises&amp;Itemid=101" target="_blank" class="jcepopup noicon">Selecta</a></li> <li><a href="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=19:le-cinema-le-bijou&amp;catid=10:les-entreprises&amp;Itemid=101">Le cin&eacute;ma Le Bijou</a></li> <li><a href="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=20:le-palais-d-ete&amp;catid=10:les-entreprises&amp;Itemid=101">Le Palais d'Et&eacute;</a></li> </ul> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>Sauf mention contraire, la documentation concernant ces articles a &eacute;t&eacute; r&eacute;unie par Maurice Charras.</p> <p>&nbsp;</p> <ul> <li>Les usines Lumi&egrave;re: voir <a href="http://patrimoine.rhonealpes.fr/dossier/societe-anonyme-des-plaques-et-papiers-photographiques-antoine-lumiere-et-ses-fils-puis-societe-lumiere-puis-groupe-ilford-france-actuellement-institut-lumiere-cinema-et-musee/01bc51e6-2252-4283-8dd2-a8734fca40bf" onclick="window.open(this.href,'','scrollbars=yes,resizable=yes,location=yes,menubar=yes,status=yes,toolbar=yes,left=0,top=0');return false;">le site g&eacute;r&eacute; par la ville de Lyon et la r&eacute;gion </a>qui regroupe de tr&egrave;s nombreuses photographies de ces usines ainsi que des plans.</li> <li><a href="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=13:arto-boudarel&amp;catid=10:les-entreprises&amp;Itemid=111" target="_blank" class="jcepopup noicon">Arto &amp; Boudarel</a>&nbsp;</li> <li><a href="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=14:etablissements-lafont&amp;catid=10:les-entreprises&amp;Itemid=101" target="_blank" class="jcepopup noicon">Selecta</a></li> <li><a href="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=19:le-cinema-le-bijou&amp;catid=10:les-entreprises&amp;Itemid=101">Le cin&eacute;ma Le Bijou</a></li> <li><a href="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php?option=com_content&amp;view=article&amp;id=20:le-palais-d-ete&amp;catid=10:les-entreprises&amp;Itemid=101">Le Palais d'Et&eacute;</a></li> </ul> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> Moutarde Selecta 2016-01-16T14:07:45+01:00 2016-01-16T14:07:45+01:00 http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php/10-les-entreprises/14-moutarde-selecta Super Utilisateur jm.demours@free.fr <p>&nbsp;</p> <p><span style="color: #000080;"><em>Avec les souvenirs de JJ. Roy</em></span></p> <p>Monplaisir avait au moins 2 fabricants de condiments.</p> <p><span style="text-decoration: underline;"><strong><span style="color: #000080; text-decoration: underline;">Vinaigrerie Exaltier</span></strong></span></p> <p>Au 2 de la rue Saint Romain la vinaigrerie d&eacute;versait ses eaux de lavage rougeoyantes dans le caniveau en bordure du trottoir. En hiver ce caniveau se bouchait avec le gel. Le liquide traversait alors&nbsp;la rue pour se d&eacute;verser dans une bouche d&rsquo;&eacute;gout de la rue&nbsp;Saint Gervais. A cette &eacute;poque la rue Saint Romain n&rsquo;avait pas le tout &agrave; l&rsquo;&eacute;gout et il fallait appeler la pompe &agrave; m&hellip; pour vider les fosses.</p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="text-decoration: underline;"><strong><span style="color: #000080; text-decoration: underline;">Moutarde SELECTA</span></strong></span></p> <p>Ce fabricant de moutarde se trouvait au 26 du chemin de Grange Rouge (rue Maryse Basti&eacute;). Cette entreprise fut cr&eacute;e en 1919 par Joseph Noiray (1887-1957) et Albert Declerek.<br />Les d&eacute;buts furent difficiles, la capitale de la moutarde &eacute;tant Dijon. La marque SELECTA eut cependant droit &agrave; l&rsquo;appellation Moutarde de Dijon, car cette appellation&nbsp;concerne un proc&eacute;d&eacute; de fabrication et non une appellation d&rsquo;origine.<br />La fabrique S&eacute;lecta employait 4 &agrave; 6 personnes dont les 2 associ&eacute;s.<br />Apr&egrave;s le d&eacute;c&egrave;s de Joseph Noiray en 1957 la maison SELECTA p&eacute;riclita et ferma d&eacute;finitivement en 1977.</p> <p>​</p> <table border="0" style="width: 2%; height: 2%;" align="center"> <tbody> <tr> <td><img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/Selecta_carte_visite.jpg" alt="Selecta: carte visite" width="400" height="257" /></td> <td>&nbsp;</td> <td><img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/Selecta_livraison.jpg" alt="selecta: vehicule livraison" width="400" height="267" /></td> </tr> <tr> <td colspan="3">&nbsp;&nbsp;&nbsp;<img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/Selecta002.jpg" alt="Selecta: photo employ&eacute;s" width="500" height="332" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" /></td> </tr> </tbody> </table> <p>&nbsp;</p> <p><span style="color: #000080;"><em>Avec les souvenirs de JJ. Roy</em></span></p> <p>Monplaisir avait au moins 2 fabricants de condiments.</p> <p><span style="text-decoration: underline;"><strong><span style="color: #000080; text-decoration: underline;">Vinaigrerie Exaltier</span></strong></span></p> <p>Au 2 de la rue Saint Romain la vinaigrerie d&eacute;versait ses eaux de lavage rougeoyantes dans le caniveau en bordure du trottoir. En hiver ce caniveau se bouchait avec le gel. Le liquide traversait alors&nbsp;la rue pour se d&eacute;verser dans une bouche d&rsquo;&eacute;gout de la rue&nbsp;Saint Gervais. A cette &eacute;poque la rue Saint Romain n&rsquo;avait pas le tout &agrave; l&rsquo;&eacute;gout et il fallait appeler la pompe &agrave; m&hellip; pour vider les fosses.</p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="text-decoration: underline;"><strong><span style="color: #000080; text-decoration: underline;">Moutarde SELECTA</span></strong></span></p> <p>Ce fabricant de moutarde se trouvait au 26 du chemin de Grange Rouge (rue Maryse Basti&eacute;). Cette entreprise fut cr&eacute;e en 1919 par Joseph Noiray (1887-1957) et Albert Declerek.<br />Les d&eacute;buts furent difficiles, la capitale de la moutarde &eacute;tant Dijon. La marque SELECTA eut cependant droit &agrave; l&rsquo;appellation Moutarde de Dijon, car cette appellation&nbsp;concerne un proc&eacute;d&eacute; de fabrication et non une appellation d&rsquo;origine.<br />La fabrique S&eacute;lecta employait 4 &agrave; 6 personnes dont les 2 associ&eacute;s.<br />Apr&egrave;s le d&eacute;c&egrave;s de Joseph Noiray en 1957 la maison SELECTA p&eacute;riclita et ferma d&eacute;finitivement en 1977.</p> <p>​</p> <table border="0" style="width: 2%; height: 2%;" align="center"> <tbody> <tr> <td><img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/Selecta_carte_visite.jpg" alt="Selecta: carte visite" width="400" height="257" /></td> <td>&nbsp;</td> <td><img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/Selecta_livraison.jpg" alt="selecta: vehicule livraison" width="400" height="267" /></td> </tr> <tr> <td colspan="3">&nbsp;&nbsp;&nbsp;<img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/Selecta002.jpg" alt="Selecta: photo employ&eacute;s" width="500" height="332" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" /></td> </tr> </tbody> </table> Arto - Boudarel 2016-01-16T13:47:38+01:00 2016-01-16T13:47:38+01:00 http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/index.php/10-les-entreprises/13-arto-boudarel Super Utilisateur jm.demours@free.fr <p><em><span style="color: #0000ff;">D&rsquo;apr&egrave;s les souvenirs de Jean et G&eacute;rard Arto</span></em></p> <p>Cette soci&eacute;t&eacute; &eacute;tait implant&eacute;e au 21 de la rue des Alouettes.<br />Cr&eacute;&eacute;e en 1865 par un sieur Henri, elle a &eacute;t&eacute; vendue &agrave; monsieur J.Charbonnier, m&eacute;canicien-constructeur. Ce dernier l'a c&eacute;d&eacute;e &agrave; la soci&eacute;t&eacute; Grosset &amp; Gardon en 1896. Enfin, le 9 juin 1920 celle-ci a &eacute;t&eacute; vendue &agrave; la soci&eacute;t&eacute; ARTO &amp; BOUDAREL.</p> <p>L&rsquo;activit&eacute; de cet atelier de m&eacute;canique &eacute;tait orient&eacute;e principalement sur la r&eacute;alisation d&rsquo;une cha&icirc;ne compl&egrave;te de machines destin&eacute;es &agrave; la confection de p&acirc;tes alimentaires: p&eacute;trin, presse et s&eacute;choir. L&rsquo;ensemble &eacute;tait install&eacute; et mis en service par la soci&eacute;t&eacute; chez leurs diff&eacute;rents clients. Dans la r&eacute;gion lyonnaise il y avait alors 4 &agrave; 5 usines qui fabriquaient et commercialisaient leur propre marque de p&acirc;tes alimentaires (Milliat, Rivoire et Carret ...).</p> <p><img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/ArtoBoudarelSchoir_2.jpg" alt="ArtoBoudarel: s&eacute;choir &agrave; p&acirc;tes" width="512" height="329" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" /></p> <p style="text-align: center;"><span style="color: #0000ff;"><em><span style="font-size: 10pt;">S&eacute;choir &agrave; p&acirc;tes</span></em></span></p> <p>L'industrie de p&acirc;tes alimentaires disparaissant peu &agrave; peu de la r&eacute;gion lyonnaise, Arto et Boudarel s&rsquo;est tourn&eacute;e vers la fabrication de machines sp&eacute;ciales pour l&rsquo;industrie du plastique, des moules pour presses &agrave; injection. Elle employait alors 15 &agrave; 20 personnes.</p> <p>Le 4 f&eacute;vrier 1955 la soci&eacute;t&eacute; Arto &amp; Boudarel a fusionn&eacute; avec la soci&eacute;t&eacute; Th&eacute;venot &amp; C&deg;, constructeur de machines textiles, et devient la "Soci&eacute;t&eacute; Lyonnaise de Construction M&eacute;canique" qui a continu&eacute; d&rsquo;avoir pour objet <em>l&rsquo;exploitation d&rsquo;ateliers de m&eacute;canique g&eacute;n&eacute;rale, notamment ceux destin&eacute;s &agrave; la construction de machines pour l&rsquo;alimentation et le textile.</em></p> <p>Vers le d&eacute;but des ann&eacute;es 1960 apparaissent les premi&egrave;res machines d&rsquo;usinage &agrave; commande num&eacute;rique, qui vont progressivement s'imposer. Ces derni&egrave;res n&eacute;c&eacute;ssitent de gros investissements que la soci&eacute;t&eacute; Arto &amp; Boudarel ne pourra assumer. Elle cessera son activit&eacute; en 1960.</p> <p>Les b&acirc;timents ont &eacute;t&eacute; vendus &agrave;&nbsp;l'Entreprise Moderne de Plomberie&nbsp;qui les c&eacute;dera&nbsp;au Cours P. Termier pour les a transformer en un gymnase et des bureaux.</p> <p><em><span style="color: #0000ff;">D&rsquo;apr&egrave;s les souvenirs de Jean et G&eacute;rard Arto</span></em></p> <p>Cette soci&eacute;t&eacute; &eacute;tait implant&eacute;e au 21 de la rue des Alouettes.<br />Cr&eacute;&eacute;e en 1865 par un sieur Henri, elle a &eacute;t&eacute; vendue &agrave; monsieur J.Charbonnier, m&eacute;canicien-constructeur. Ce dernier l'a c&eacute;d&eacute;e &agrave; la soci&eacute;t&eacute; Grosset &amp; Gardon en 1896. Enfin, le 9 juin 1920 celle-ci a &eacute;t&eacute; vendue &agrave; la soci&eacute;t&eacute; ARTO &amp; BOUDAREL.</p> <p>L&rsquo;activit&eacute; de cet atelier de m&eacute;canique &eacute;tait orient&eacute;e principalement sur la r&eacute;alisation d&rsquo;une cha&icirc;ne compl&egrave;te de machines destin&eacute;es &agrave; la confection de p&acirc;tes alimentaires: p&eacute;trin, presse et s&eacute;choir. L&rsquo;ensemble &eacute;tait install&eacute; et mis en service par la soci&eacute;t&eacute; chez leurs diff&eacute;rents clients. Dans la r&eacute;gion lyonnaise il y avait alors 4 &agrave; 5 usines qui fabriquaient et commercialisaient leur propre marque de p&acirc;tes alimentaires (Milliat, Rivoire et Carret ...).</p> <p><img src="http://lyon.monplaisir.free.fr/Joomla/images/JMD/ImagesEntreprises/ArtoBoudarelSchoir_2.jpg" alt="ArtoBoudarel: s&eacute;choir &agrave; p&acirc;tes" width="512" height="329" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" /></p> <p style="text-align: center;"><span style="color: #0000ff;"><em><span style="font-size: 10pt;">S&eacute;choir &agrave; p&acirc;tes</span></em></span></p> <p>L'industrie de p&acirc;tes alimentaires disparaissant peu &agrave; peu de la r&eacute;gion lyonnaise, Arto et Boudarel s&rsquo;est tourn&eacute;e vers la fabrication de machines sp&eacute;ciales pour l&rsquo;industrie du plastique, des moules pour presses &agrave; injection. Elle employait alors 15 &agrave; 20 personnes.</p> <p>Le 4 f&eacute;vrier 1955 la soci&eacute;t&eacute; Arto &amp; Boudarel a fusionn&eacute; avec la soci&eacute;t&eacute; Th&eacute;venot &amp; C&deg;, constructeur de machines textiles, et devient la "Soci&eacute;t&eacute; Lyonnaise de Construction M&eacute;canique" qui a continu&eacute; d&rsquo;avoir pour objet <em>l&rsquo;exploitation d&rsquo;ateliers de m&eacute;canique g&eacute;n&eacute;rale, notamment ceux destin&eacute;s &agrave; la construction de machines pour l&rsquo;alimentation et le textile.</em></p> <p>Vers le d&eacute;but des ann&eacute;es 1960 apparaissent les premi&egrave;res machines d&rsquo;usinage &agrave; commande num&eacute;rique, qui vont progressivement s'imposer. Ces derni&egrave;res n&eacute;c&eacute;ssitent de gros investissements que la soci&eacute;t&eacute; Arto &amp; Boudarel ne pourra assumer. Elle cessera son activit&eacute; en 1960.</p> <p>Les b&acirc;timents ont &eacute;t&eacute; vendus &agrave;&nbsp;l'Entreprise Moderne de Plomberie&nbsp;qui les c&eacute;dera&nbsp;au Cours P. Termier pour les a transformer en un gymnase et des bureaux.</p>